Reproductive biology of the amazon lava lizard (tropidurus torquatus) from the wet Chaco of Corrientes (Argentina) : congeneric comparisons of ecotypic and interspecific variations

• Autores: Ortíz, Martín Alejandro; Boretto, Jorgelina Mariela; Piantoni, Carla; Álvarez, Blanca Beatriz; Ibargüengoytía, Nora Ruth
• Año de publicación: 2014
• Idioma: inglés
• Tipo de recurso: artículo
• Fuente: Canadian Journal of Zoology, 2014, vol. 92, no. 7, p. 643-655.
• Materia: reproductive cycle; Squamata; tropidurid; cycle de reproduction; squamates; tropiduridés
• Institución: Universidad Nacional del Nordeste

Fil: Ortíz, Martín Alejandro. Universidad Nacional del Nordeste. Facultad de Ciencias Exactas y Naturales y Agrimensura; Argentina.
Fil: Boretto, Jorgelina Mariela. Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas. Instituto de Investigaciones en Biodiversidad y Medioambiente; Argentina.
Fil: Piantoni, Carla. Universidade de São Paulo. Instituto de Biosciências; Brasil.
Fil: Álvarez, Blanca Beatriz. Universidad Nacional del Nordeste. Facultad de Ciencias Exactas y Naturales y Agrimensura; Argentina.
Fil: Ibargüengoytía, Nora Ruth. Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas. Instituto de Investigaciones en Biodiversidad y Medioambiente; Argentina.
Herein we describe the reproductive biology of a population of the Amazon Lava Lizard (Tropidurus torquatus (Wied-Neuwied, 1820)) from Corrientes, northeastern Argentina (Wet Chaco). We describe the male and female reproductive cycles, minimum body size for adults, reproductive output, mean relative clutch mass, fat body cycles, and sexual dimorphism. Our results were compared with data on the reproductive biology of Brazilian populations of T. torquatus and congeneric species. In Corrientes, males of T. torquatus exhibited a continuous reproductive cycle, but with annual variation of testicular parameters associated with spermatogenic activity. In contrast, females were reproductive only from winter to summer (July–February), laying at least two clutches each of six eggs, on average, per reproductive season. The relative clutch mass and egg size values in Corrientes were the highest reported for the species. The annual cycle of energy storage (as fat bodies) was inversely correlated with reproductive activity in both sexes. Males differed from females in snout–vent length, head size, interlimb length, and tail length. We observed interpopulational differences in relative clutch mass, egg volume and mass, incubation period and hatching time, and the minimum body size for sexual maturity probably as a result of phenotypic plasticity or adaptation to local environmental conditions and likely both.
Nous décrivons la biologie de la reproduction d’une population de lézards Tropidurus torquatus (Wied-Neuwied, 1820) de Corrientes, dans le nord-est de l’Argentine (Chaco humide). Nous décrivons les cycles de reproduction des mâles et des femelles, la taille minimum du corps des adultes, l’efficacité de la reproduction, la masse moyenne relative des pontes, les cycles des corps adipeux et le dimorphisme sexuel. Nos résultats sont comparés a` des données relatives a` la biologie de la reproduction de populations brésiliennes de T. torquatus et d’espèces congénères. À Corrientes, les mâles de T. torquatus présentent un cycle de reproduction continu, mais des variations annuelles des paramètres testiculaires associés a` la spermatogénèse. En revanche, les femelles ne sont reproductives que de l’hiver a` l’été (de juillet a` février), produisant aux moins deux pontes de six œufs chacune en moyenne chaque saison de reproduction. Les valeurs de la masse relative des pontes et de la taille des œufs a` Corrientes étaient les plus importantes signalées pour l’espèce. Le cycle annuel de stockage d’énergie (sous forme de corps adipeux) était inversement corrélé a` l’activité de reproduction pour les deux sexes. Les mâles se distinguaient des femelles sur le plan de la longueur museau–cloaque, de la taille de la tête, de la longueur entre les membres et de la longueur de la queue. Nous avons observé des différences entre populations en ce qui concerne la masse relative des pontes, le volume et la masse des œufs, la période d’incubation et le moment de l’éclosion, ainsi que la taille minimum du corps a` maturité sexuelle, ces différences étant probablement dues a` la plasticité phénotypique, a` l’adaptation a` des conditions ambiantes locales ou, vraisemblablement, a` une combinaison de ces deux phénomènes. [Traduit par la Rédaction]