De la civilisation. Le musée impossible
- Autores
- Gabrieloni, Ana L.
- Año de publicación
- 2019
- Idioma
- francés
- Tipo de recurso
- artículo
- Estado
- versión aceptada
- Descripción
- Fil: Gabrieloni, Ana L. Universidad Nacional de Río Negro. Laboratorio Texto, imagen y sociedad [LabTIS]; Argentina
Fil: Gabrieloni, Ana L. Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas; Argentina
Dans ce travail, on rend compte de deux documentaires d'auteur exceptionnels dans le cadre de l'historiographie filmographique argentine en tant qu'appartenant à la tradition de films pour « donner à voir » des images de l'art, d'après le concept poétique et textuel, à l'origine, de Paul Éluard. Il s'agit de « Civilisation » (2012) du réalisateur indépendant Rubén Guzmán. Le titre du long-métrage -transposé d'une des oeuvres emblématiques de l'artiste León Ferrari (1920-2013) « La civilisation occidentale et chrétienne » de 1965, où la sculpture d'un Christ gît crucifié sur un avion de chasse similaire à ceux utilisés pour les attaques au napalm pendant la guerre du Vietnam, évoque une série documentaire clé dans l'historiographie filmographique sur l'art : « Civilisation: A Personal View by Kenneth Clark », produite par la BBC au début des années 70. Néanmoins, « Civilisation » de Guzmán se distingue conceptuellement de celle-ci pour se projeter sur le même « fond de l'air rouge » déployé dans l'oeuvre homonyme de Chris Marker (1977) où on voit les corps lacérés des victimes du napalm et avec laquelle il partage cette nature amphibie propre de l'essai documentaire, exprimée dans sa volonté critique comme dans son expressivité lyrique. Cette différence s'inspire exclusivement de l'art de Ferrari, dont la politique esthétique iconoclaste a poussé un groupe de fanatiques religieux à détruire une partie des oeuvres présentées lors d'une des expositions rétrospectives les plus importantes de l'artiste (Centre Culturel de la Recoleta à Buenos Aires, 2004), quelques années avant de recevoir le Lyon d'Or dans la 52ème Biennale à Venise. Si, tel que nous le rappelle Reger dans le roman Maîtres anciens de Thomas Bernhard, abjurer l'iconographie religieuse équivaut à abjurer l'histoire de l'art occidental presque complètement, « Civilisation » mène à la réflexion sur la manière de représenter des images qui abjurent les images avec des images et de les inscrire dans la même histoire qu'elles renient. Bref, dans ce travail, on examine une oeuvre filmographique qui encourage à réfléchir sur le film essai -objet de notre recherche actuelle plus large-dans ses projections critiques comme documents de culture, dans ce cas, spécifiquement sur l'art mais face à des univers visuels particuliers par l'iconoclastie dans « Civilisation ».
Dans ce travail, on rend compte de deux documentaires d'auteur exceptionnels dans le cadre de l'historiographie filmographique argentine en tant qu'appartenant à la tradition de films pour « donner à voir » des images de l'art, d'après le concept poétique et textuel, à l'origine, de Paul Éluard. Il s'agit de « Civilisation » (2012) du réalisateur indépendant Rubén Guzmán. Le titre du long-métrage -transposé d'une des oeuvres emblématiques de l'artiste León Ferrari (1920-2013) « La civilisation occidentale et chrétienne » de 1965, où la sculpture d'un Christ gît crucifié sur un avion de chasse similaire à ceux utilisés pour les attaques au napalm pendant la guerre du Vietnam, évoque une série documentaire clé dans l'historiographie filmographique sur l'art : « Civilisation: A Personal View by Kenneth Clark », produite par la BBC au début des années 70. Néanmoins, « Civilisation » de Guzmán se distingue conceptuellement de celle-ci pour se projeter sur le même « fond de l'air rouge » déployé dans l'oeuvre homonyme de Chris Marker (1977) où on voit les corps lacérés des victimes du napalm et avec laquelle il partage cette nature amphibie propre de l'essai documentaire, exprimée dans sa volonté critique comme dans son expressivité lyrique. Cette différence s'inspire exclusivement de l'art de Ferrari, dont la politique esthétique iconoclaste a poussé un groupe de fanatiques religieux à détruire une partie des oeuvres présentées lors d'une des expositions rétrospectives les plus importantes de l'artiste (Centre Culturel de la Recoleta à Buenos Aires, 2004), quelques années avant de recevoir le Lyon d'Or dans la 52ème Biennale à Venise. Si, tel que nous le rappelle Reger dans le roman Maîtres anciens de Thomas Bernhard, abjurer l'iconographie religieuse équivaut à abjurer l'histoire de l'art occidental presque complètement, « Civilisation » mène à la réflexion sur la manière de représenter des images qui abjurent les images avec des images et de les inscrire dans la même histoire qu'elles renient. Bref, dans ce travail, on examine une oeuvre filmographique qui encourage à réfléchir sur le film essai -objet de notre recherche actuelle plus large-dans ses projections critiques comme documents de culture, dans ce cas, spécifiquement sur l'art mais face à des univers visuels particuliers par l'iconoclastie dans « Civilisation ». - Materia
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Le titre du long-métrage -transposé d'une des oeuvres emblématiques de l'artiste León Ferrari (1920-2013) « La civilisation occidentale et chrétienne » de 1965, où la sculpture d'un Christ gît crucifié sur un avion de chasse similaire à ceux utilisés pour les attaques au napalm pendant la guerre du Vietnam, évoque une série documentaire clé dans l'historiographie filmographique sur l'art : « Civilisation: A Personal View by Kenneth Clark », produite par la BBC au début des années 70. Néanmoins, « Civilisation » de Guzmán se distingue conceptuellement de celle-ci pour se projeter sur le même « fond de l'air rouge » déployé dans l'oeuvre homonyme de Chris Marker (1977) où on voit les corps lacérés des victimes du napalm et avec laquelle il partage cette nature amphibie propre de l'essai documentaire, exprimée dans sa volonté critique comme dans son expressivité lyrique. Cette différence s'inspire exclusivement de l'art de Ferrari, dont la politique esthétique iconoclaste a poussé un groupe de fanatiques religieux à détruire une partie des oeuvres présentées lors d'une des expositions rétrospectives les plus importantes de l'artiste (Centre Culturel de la Recoleta à Buenos Aires, 2004), quelques années avant de recevoir le Lyon d'Or dans la 52ème Biennale à Venise. Si, tel que nous le rappelle Reger dans le roman Maîtres anciens de Thomas Bernhard, abjurer l'iconographie religieuse équivaut à abjurer l'histoire de l'art occidental presque complètement, « Civilisation » mène à la réflexion sur la manière de représenter des images qui abjurent les images avec des images et de les inscrire dans la même histoire qu'elles renient. Bref, dans ce travail, on examine une oeuvre filmographique qui encourage à réfléchir sur le film essai -objet de notre recherche actuelle plus large-dans ses projections critiques comme documents de culture, dans ce cas, spécifiquement sur l'art mais face à des univers visuels particuliers par l'iconoclastie dans « Civilisation ».Dans ce travail, on rend compte de deux documentaires d'auteur exceptionnels dans le cadre de l'historiographie filmographique argentine en tant qu'appartenant à la tradition de films pour « donner à voir » des images de l'art, d'après le concept poétique et textuel, à l'origine, de Paul Éluard. Il s'agit de « Civilisation » (2012) du réalisateur indépendant Rubén Guzmán. Le titre du long-métrage -transposé d'une des oeuvres emblématiques de l'artiste León Ferrari (1920-2013) « La civilisation occidentale et chrétienne » de 1965, où la sculpture d'un Christ gît crucifié sur un avion de chasse similaire à ceux utilisés pour les attaques au napalm pendant la guerre du Vietnam, évoque une série documentaire clé dans l'historiographie filmographique sur l'art : « Civilisation: A Personal View by Kenneth Clark », produite par la BBC au début des années 70. Néanmoins, « Civilisation » de Guzmán se distingue conceptuellement de celle-ci pour se projeter sur le même « fond de l'air rouge » déployé dans l'oeuvre homonyme de Chris Marker (1977) où on voit les corps lacérés des victimes du napalm et avec laquelle il partage cette nature amphibie propre de l'essai documentaire, exprimée dans sa volonté critique comme dans son expressivité lyrique. 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